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Le niveau 7 atteste la capacité à élaborer et mettre en œuvre des stratégies alternatives pour le développement de l’activité professionnelle dans des contextes professionnels complexes, ainsi qu’à évaluer les risques et les conséquences de son activité.
Les diplômes conférant le grade de master sont classés à ce niveau du cadre national.
Formation réglementée par :
L’infirmiermier.e anesthésiste (IADE) travaille au sein d’équipes pluridisciplinaires, en collaboration et sous la responsabilité des médecins anesthésistes – réanimateurs. Il réalise des soins spécifiques et des gestes techniques dans les domaines de l’anesthésie-réanimation, de la médecine d’urgence et de la prise en charge de la douleur.
L’infirmier anesthésiste analyse, évalue les situations, intervient afin de garantir la qualité des soins et la sécurité des patients en anesthésie-réanimation dans la période péri-interventionnelle.
Ses activités concourent au diagnostic, au traitement, à la recherche. Il participe à la formation dans ces champs spécifiques.est un professionnel infirmier diplômé d’Etat, spécialisé, qui travaille en étroite collaboration et sous la responsabilité du médecin anesthésiste au bloc opératoire et obstétrical en salle de surveillance post-interventionnelle, au SMUR…
Disciplines obligatoires :
– Anesthésie-réanimation en chirurgie viscérale (8 semaines min) ;
– Anesthésie-réanimation en chirurgie céphalique tête et cou (4 semaines min) ;
– Anesthésie-réanimation en chirurgie orthopédique ou traumatologique (4 semaines min) ;
– Anesthésie-réanimation obstétricale (4 semaines min) ;
– Anesthésie-réanimation pédiatrique (4 semaines) ;
Prise en charge en préhospitalier (SMUR, urgence…) (4 semaines min) ;
– Prise en charge de la douleur, y compris sophrologie, hypnose (2 semaines) ;
– Stage au sein d’une équipe de recherche (4 semaines).
Le temps de surveillance post-interventionnelle est intégré dans les stages cités ci-dessus.
Parmi les 24 semaines restantes, au moins 8 semaines seront au choix de l’étudiant. Les 16 semaines restantes sont réparties par l’équipe pédagogique (adaptation du parcours de formation, choix en fonction de l’intérêt pédagogique, discipline novatrice ou pertinente…). Autres disciplines possibles : chirurgie thoracique, cardiaque, chirurgie plastique, brûlés, chirurgie ambulatoire, accueil d’urgence, réanimations, anesthésie hors bloc (clinique de la douleur, radiologie interventionnelle,consultation d’anesthésie…).
30 unités d’enseignement (UE) réparties en 7 domaines (60 ECTS) :
– Sciences humaines, sociales et droit ;
– Science physiques, biologiques et médicales ;
– Fondamentaux de l’anesthésie, réanimation et urgence ;
– Exercice du métier d’IADE dans des domaines spécifiques ;
– Études et recherche en santé ;
– Intégration des savoirs de l’IADE ;
– Mémoire professionnel.
120 ECTS :
Diplôme d’Etat Infirmier IADE
+ Grade Master
2 ans ( 24 mois – 4 semestres) soit un total de 3290 heures :
– Formation théorique de 910 heures de cours (magistraux et travaux dirigés)
– Formation clinique de 2030 heures (58 semaines) de stages ;
– 350 heures (10 semaines) de travail personnel guidé ;
– 5 semaines de congés annuels.
– 1. Anticiper et mettre en place une organisation du site d’anesthésie en fonction du patient, du type d’intervention et du type d’anesthésie
– 2. Analyser la situation, anticiper les risques associés en fonction du type d’anesthésie, des caractéristiques du patient et de l’intervention et ajuster la prise en charge anesthésique
– 3. Mettre en œuvre et adapter la procédure d’anesthésie en fonction du patient et du déroulement de l’intervention
– 4. Assurer et analyser la qualité et la sécurité en anesthésie réanimation
– 5. Analyser le comportement du patient et assurer un accompagnement et une information adaptée à la situation d’anesthésie
– 6. Coordonner ses actions avec les intervenants et former des professionnels dans le cadre de l’anesthésie-réanimation, de l’urgence intra et extrahospitalière et de la prise en charge de la douleur
– 7. Rechercher, traiter et produire des données professionnelles et scientifiques dans les domaines de l’anesthésie, la réanimation, l’urgence et l’analgésie
→ Admission sur concours : justifier de deux années minimum d’exercice infirmier à temps plein au 1er janvier de l’année du concours.
Épreuve écrite d’admissibilité : preuve écrite comportant 20 questions courtes et une question rédactionnelle. Évaluation des connaissances professionnelles et scientifiques en référence au programme de formation du diplôme d’État d’infirmier ainsi que ses capacités rédactionnelles.
Seuls les candidats ayant obtenu une note supérieure ou égale à
10 sur 20 à cette épreuve écrite peuvent se présenter à l’épreuve
orale d’admission.
Épreuve orale d’admission : entretien de 30 minutes. Exposé et discussion avec le jury, précédé d’un temps de préparation.
→ Vous pouvez demander à être dispensé des épreuves d’admission si vous êtes (dans la limite de 10% de l’effectif d’étudiants) :
– titulaire du diplôme d’État de sage-femme ;
– étudiant(e) ayant validé la troisième année du deuxième cycle des études médicales ;
– titulaire d’un diplôme d’État d’infirmier et d’un diplôme reconnu au grade de master.
Formation réglementée par :
L’infirmier.e de pratique avancée (IPADE) exerce en milieu hospitalier ou au sein de regroupements pluriprofessionnels de soins primaires (MSP, Pôles de santé), dans l’un des 4 domaines d’intervention suivants, selon la mention choisie en deuxième année de formation :
– Pathologies chroniques stabilisées, prévention et polypathologies courantes en soins primaires ;
– Onco et hémato-oncologie ;
– Maladie rénale chronique, dialyse, transplantation rénale ;
– Psychiatrie, santé mentale ;
L’ouverture d’une mention « Urgence » a été annoncée, mais les décrets d’application ne sont pas encore publiés.
Par la pratique avancée, les professionnels infirmiers élargissent leurs domaines de compétences dans le champ clinique. La pratique avancée valide une responsabilité dans les décisions cliniques et thérapeutiques notamment : renouveler, adapter voire prescrire des traitements ou des examens, assurer une surveillance clinique, mener des actions de prévention, de dépistage ou d’éducation.
La pratique avancée permet d’accompagner l’évolution des besoins de santé de la population, notamment ceux liés aux maladies chroniques et au vieillissement.
1e année : 2 mois
2e année : 4 mois
La 1e année (60 ECTS), commune aux 3 mentions, permet aux étudiants d’acquérir les connaissances fondamentales et les compétences « socle » de la pratique avancée.
– UE Clinique
– UE Sciences infirmières et pratique avancée
– UE Responsabilité, éthique, législation, déontologie
– UE Langue vivante
– UE Méthodes de travail
– UE Formation et analyse des pratiques professionnelles
– UE Santé publique
– UE Recherche
La 2e année (60 ECTS), associe enseignements spécifiques et communs aux 3 mentions, et la rédaction et la soutenance d’un mémoire. Elle permet l’acquisition des connaissances et compétences spécifiques à l’exercice en pratique avancée relatives à la mention choisie.
– UE Recherche
– UE Langue vivante
– UE Bases fondamentales
– UE Clinique
– UE Parcours de santé
– UE Mémoire
120 ECTS :
Diplôme d’État Infirmier de pratique avancée
+ Grade Master
La formation en vue du diplôme d’État d’infirmier en pratique avancée se déroule en 2 ans (4 semestres) en continue ou alternance selon les universités :
– 1e année : enseignements de tronc commun sur les bases de l’exercice ;
– 2e année : enseignements en lien avec la mention choisie.
– 1. Évaluer l’état de santé de patients en relais de consultations médicales pour des pathologies identifiées
– 2. Définir et mettre en œuvre le projet de soins du patient à partir de l’évaluation globale de son état de santé
– 3. Concevoir et mettre en œuvre des actions de prévention et d’éducation thérapeutique
– 4. Organiser les parcours de soins et de santé de patients en collaboration avec l’ensemble des acteurs
– 5. Mettre en place et conduire des actions d’évaluation et d’amélioration des pratiques professionnelles en exerçant un leadership clinique
– 6. Rechercher, analyser et produire des données professionnelles et scientifiques
Sélection sur étude des dossiers et entretiens :
Lors de leur admission, les candidats peuvent demander à bénéficier de validation d’acquis de l’expérience ou d’études supérieures.
Le jury prononcera dans un premier temps l’admission en formation. Dans un second temps, la validation potentielle des acquis sera analysée.
La validation de la 1e année est une condition obligatoire pour l’entrée en 2e.
L’entrée directe en semestre 3 est possible aux titulaires du DEIPA souhaitant exercer dans une autre mention que celle pour laquelle ils sont déjà diplômés.
Obtention du diplôme par validation des acquis de l’expérience ou d’études supérieures :
Le DE d’IPA peut être obtenu par la voie de la validation des acquis de l’expérience ou d’études supérieures dans les conditions prévues à la section 3 du chapitre III du titre 1er du livre VI du CSP. Un candidat ne peut être admis que dans l’établissement d’enseignement supérieur qui a contrôlé son aptitude à suivre la première ou la 2e année du DE IPA qu’il dispense. (Art. D. 636‐80 du CSP).
La formation est possible en formation initiale ou en formation professionnelle continue.
Cependant, un infirmier titulaire du DEIPA devra justifier d’un exercice de 3 ans en qualité d’infirmier.e à temps plein avant de pouvoir exercer en qualité d’IPA.
Formation Cadre de Santé (Niveau 7 pour les IFCS conventionnés avec une université octroyant le Master complet)
Formation réglementée par :
Le cadre de santé exerce dans deux champs différents :
Le cadre de santé d’unité de soins anime une équipe, organise et coordonne les activités paramédicales (de soins, médico-techniques ou de rééducation) pour répondre à une prise en soins cohérente et de qualité.
Ses activités principales reposent sur des capacités d’analyse pour permettre la compréhension des situations du quotidien et ainsi d’anticiper.
De ce fait, le cadre de santé se voit confier des missions transversales prenant en compte différentes dimensions managériales.
Le cadre de santé s’inscrit dans une dynamique de veille professionnelle sur l’évolution de la santé, des professions, des nouvelles techniques et du matériel.
Le cadre de santé formateur en Institut de formation paramédicale organise les conditions d’apprentissages pour les futurs professionnels paramédicaux.
Le cadre formateur en techniques, management et pédagogie des soins conseille et oriente les choix d’une personne ou d’un groupe, relatifs à son domaine de compétences.
Ces deux champs d’activité pour le cadre de santé mobilisent des compétences différentes. Néanmoins, ils se révèlent complémentaires en termes de gestion de ressources humaines, gestion de projets et de veille professionnelle.
Module 1 : 3 semaines de stage hors secteur sanitaire.
Module 4 : 3 ou 4 semaines de stage en établissement sanitaire ou social.
Module 5 : 3 ou 4 semaines de stage en établissement de formation sanitaire ou social.
Module 6 : 4 semaines de stage soit en établissement sanitaire ou social, soit en établissement de formation, soit en structure de santé publique.
Module 1 : Initiation à la fonction de cadre (90 h).
Module 2 : Santé publique (90 h).
Module 3 : Analyse des pratiques et initiation à la recherche (90 h).
Module 4 : Fonction d’encadrement (150 ou 180 h).
Module 5 : Fonction de formation (150 ou 180 h).
Module 6 : Approfondissement des fonctions d’encadrement et de formation professionnels (150 h).
L’offre pédagogique des IFCS s’enrichit de partenariats universitaires assurant à l’étudiant.e la possibilité d’un parcours universitaire, en sus du diplôme cadre de santé.
Ainsi, en fonction des partenariats en suivant les enseignements universitaires correspondants, une 1e année de Master ou un Master complet peut être obtenu dans les disciplines suivantes :
– Sciences de l’Education ;
– Management et administration des entreprises ;
– Sociologie et développement des organisations ;
– Management des organisations et conduite de changement, etc.
60 ou 120 ECTS :
Diplôme d’État de Cadre de Santé
+ Grade Master selon les IFCS ou 1e année de Master
Les études se déroulent sur 10 mois (42 semaines de septembre à juin) dont 13 semaines de stage, 26 semaines de théorie, 2 semaines de recherche et 1 semaine de congés .
Selon le document de travail DGOS de Décembre 2012 :
– 1. Prévoir les activités et les moyens nécessaires pour un secteur
d’activités de soin
– 2. Organiser et coordonner les activités du secteur d’activités de soin
– 3. Manager des équipes pluri professionnelles dans un secteur d’activités
de soin
– 4. Manager les compétences individuelles et collectives d’une équipe pluri
professionnelle
– 5. Contrôler et évaluer les activités
– 6. Conduire une démarche qualité et de gestion des risques
– 7. Conduire un projet, des travaux d’étude et de recherche
– 8. Communiquer, transmettre les informations et rendre compte
Être titulaire d’un diplôme, certificat ou titre permettant d’exercer la profession d’infirmier(e), de manipulateur(trice) d’électroradiologie, de technicien de laboratoire , de masseur-kinésithérapeute, de diététicien, de pédicure-podologue,de psychomotricien, d’ergothérapeute, d’orthophoniste ou de préparateur en pharmacie et avoir exercé au moins 4 ans au 31 janvier de l’année des épreuves de sélection l’une de ces professions.
– ÉPREUVE D’ADMISSIBILITÉ : notée sur 20, à partir d’un dossier rédigé :
Ne peuvent être déclarés admissibles que les candidats ayant obtenu une note égale ou supérieure à 10/20.
– ÉPREUVE D’ADMISSION : épreuve orale notée sur 20 qui consiste en un exposé oral de 10 min au cours duquel le candidat présente son dossier suivi d’un entretien individuel de 20 min.
– Selon les IFCS et leurs partenariats universitaires : dossier de VAPP (validation des acquis professionnels et personnels) en supplément.
Suite à la parution du décret du 27 janvier 2015, l’exercice du métier d’IBODE est aujourd’hui règlementé par les articles R 4311-11, R 4311-11-1 et R 4311-11-2 du Code de la Santé Publique.
Formation réglementée par :
L’infirmier.e de bloc opératoire (IBODE) organise, réalise des soins et des activités en lien avec le geste opératoire, en pré, per et post interventionnel auprès des personnes bénéficiant d’interventions chirurgicales, endoscopiques et autres actes techniques invasifs à visée diagnostique et/ou thérapeutique.
L’IBODE assure les rôles de circulant, instrumentiste, et aide-opératoire. Pour ce rôle d’aide opératoire, il réalise les actes et activités relevant de sa compétence exclusive : installation définitive des patients en fonction de la voie d’abord, sutures sous-cutanées et cutanées, aide à l’hémostase…
L’IBODE exerce aussi dans des secteurs associés :
– Stérilisation : l’IBODE gère l’instrumentation, coordonne les activités d’une équipe et surveille l’application des procédures de traitement du matériel, en collaboration avec le pharmacien.
– Secteurs interventionnels : l’IBODE apporte son expertise dans l’utilisation des dispositifs médicaux, la gestion d’un environnement technologique pointu, les règles d’hygiène appliquées aux actes invasifs.
– Hygiène hospitalière : l’IBODE a ici un rôle dans la lutte contre les infections nosocomiales et peut exercer dans les équipes opérationnelles d’hygiène hospitalière. L’IBODE en bloc opératoire agit également en tant que partenaire ; il est un collaborateur indispensable de l’équipe opérationnelle d’hygiène.
Le parcours, composé de 47 semaines de stage dont 4 semaines de stage recherche doit permettre d’aborder la chirurgie à tous les âges de la vie, la chirurgie conventionnelle et ambulatoire, la chirurgie endoscopique, la chirurgie en radiologie interventionnelle, la programmation opératoire, d’explorer les différents rôles de l’IBODE (assistant chirurgical, instrumentiste, circulant) dans les différents temps vasculaires, septiques, aseptiques et prothétiques, urgences, de découvrir les évolutions liées au développement des nouvelles technologies et notamment l’essor de la chirurgie robotique.
26 semaines de stage sont réalisées obligatoirement dans les secteurs opératoires, interventionnels et associés suivants : Hygiène, stérilisation, radiologie interventionnelle, Endoscopie, Chirurgie ostéo articulaire conventionnelle et ambulatoire, Chirurgie viscérale et vasculaire conventionnelle et ambulatoire (un minimum de 8 semaines est réalisé dans les deux derniers secteurs). 6 semaines de stage permettent d‘appréhender les actes et activités en lien avec la compétence 3 dans la spécialité choisie par l’étudiant.
Les 17 semaines de stages restantes sont réalisées dans des lieux choisis en concertation avec l’équipe pédagogique, en fonction du projet professionnel de l’étudiant, de ses expériences, du travail de mémoire réalisé, des compétences restant à développer et du projet pédagogique de l’école.
Bloc 1 – Prise en soins et mise en œuvre des activités de prévention et de soins en lien avec des actes invasifs à visée diagnostique et/ou thérapeutique
Bloc 2 – Mise en œuvre des techniques complexes d’assistance chirurgicale au cours d’actes invasifs à visée diagnostique et/ou thérapeutique
Bloc 3 – Organisation et coordination des activités de soins, de la démarche qualité et prévention des risques dans les secteurs interventionnels et secteurs associés
Bloc 4 – Information et formation des professionnels dans les secteurs interventionnels etv secteurs associés
Bloc 5 – Veille professionnelle, travaux de recherche et conduite de démarches d’amélioration des pratiques
1. Connaitre et contribuer à mettre en oeuvre des modes de prise en soins des personnes adaptées aux situations rencontrées en lien avec des actes invasifs à visée diagnostique et/ou thérapeutique (BLOC 1)
2. Mettre en oeuvre des techniques et des pratiques en per et post opératoire immédiat en prenant en compte les risques (BLOC 1)
3. Identifier et mettre en oeuvre des techniques complexes d’assistance chirurgicale en prenant en compte les risques encourus par la personne (BLOC 2)
4. Organiser et coordonner les activités de soins infirmiers liées au processus péri-opératoire (BLOC 3)
5. Conduire une démarche qualité, de gestion et de prévention des risques dans les secteurs interventionnels et secteurs associés (BLOC 3)
6. ettre en oeuvre, contrôler et ajuster la démarche de gestion et prévention du risque infectieux dans les secteurs interventionnels et secteurs associés (BLOC 3)
7. Former et informer les professionnels et les apprenants (BLOC 4)
8. Rechercher, traiter et analyser des données professionnelles et scientifiques (BLOC 5)
9. Evaluer et améliorer les pratiques professionnelles au regard des évolutions techniques et réglementaires (BLOC 5)
12 UE constitutives des 5 blocs de compétences
UE Sciences infirmières et bloc opératoire
UE Sciences médico-chirurgicales
UE Techniques complexes d’assistance chirurgicale
UE Coordination des activités de soins liées aux processus péri- opératoire, pré, per et post-opératoire
UE Prévention et gestion des risques
UE Formation, tutorat et développement des compétences
UE Recherche
UE Langue vivante
UE Mémoire
UE Analyse de pratiques professionnelles
UE Optionnelle
UE Stages
Il existe 3 façons de devenir IBODE :
La spécialisation est accessible à tout étudiant.e en soins infirmiers en 3e année de formation (sous réserve d’obtention du DE) et ou IDE ou sage-femme diplômé.e, quel que soit la durée et le type d’exercice professionnel.
Le processus de sélection des candidats comprend une admissibilité sur dossier et un entretien d’admission. Les pièces constituant ce dossier sont listées à l’article 9. Le candidat relevant de la formation par alternance doit disposer d’un contrat de formation en alternance conclu avec son employeur.
– Le dossier d’admissibilité est noté sur 20 points.
– L’entretien individuel d’admission est d’une durée de20 minutes au maximum et est noté sur 20 points. Il comprend une présentation orale du candidat portant sur son projet professionnel (8 points), suivie d’un entretien avec le jury (12 points).
Les personnes ayant déjà été sélectionnées à l’issue d’un entretien avec un employeur pour un contrat d’alternance sollicitent une inscription. Le directeur de l’école concernée procède à leur admission directe en formation, au regard des documents décrivant la situation du futur alternant (article 16).